Publié par Bonardel Françoise
pour l'édition
Numéro 2
Une transmission réparatrice
Est-ce pour avoir si souvent fustigé l’arrogance de l’intelligentsia parisienne que Gilbert Durand s’est vu à sa mort [1] privé par la « grande presse » de l’hommage qui semblait pourtant lui être dû ? Le fait en tout cas est là, et porte à s’interroger sur la capacité de notre culture à encore mesurer ce qui est important, ou ne l’est pas. Nombre de penseurs, et non des moindres, sont ainsi tombés dans l’angle mort de son champ visuel sans qu’on sache vraiment pourquoi, sinon (...)
Publié par Vermorel Henri
pour l'édition
Numéro 2
Hommage
C’était dans les années soixante du siècle dernier ; Gilbert Durand, alors professeur de sociologie et actif directeur du Collège Littéraire Universitaire de Chambéry, décidait de créer un enseignement de la psychologie, en lien avec l’Université de Grenoble dont il dépendait. Il avait fait appel à quelques-uns de ses élèves mais il prit aussi contact avec moi car, ayant eu auparavant des relations avec des médecins d’hôpitaux psychiatriques, il souhaitait avoir la collaboration d’un psychiatre, (...)