Publié par Gaillard Christian
pour l'édition
Numéro 1
En septembre 1932 s’ouvrait au Kunsthaus de Zurich la première grande rétrospective de l’œuvre de Picasso. Jung s’y est rendu. Et il a aussitôt été frappé, et touché, par ce qu’il découvrait là. En particulier par les œuvres en bleu de Picasso, qui pourtant étaient assez peu nombreuses dans cette exposition. Il écrivit de là un essai publié dans la Neue Zürcher Zeitung. La même année 1932, peu avant l’article qu’il a consacré à cette exposition, il avait écrit un essai sur l’Ulysse de Joyce. Par son analyse de (...)
Publié par Roberto Cacciola
pour l'édition
Numéro 8
À partir des concepts d’identité et d’appartenance, de leurs implications philosophiques, psychiques et mythologiques, l’article se propose de montrer la voie qui — à travers la psychologie des profondeurs de C. G. Jung — peut permettre à l’individu de dépasser les dérives identitaires. Seul un individu non réduit à un objet de connaissance, un individu à la fois sujet et objet de sa propre connaissance, est capable de porter son regard au-delà de la raison, là où la conscience prend son origine en se (...)
Publié par Amer Karima
pour l'édition
Numéro 9
Cet article se propose de relever un défi historiographique sur une des ruptures les plus importantes dans l’histoire de la psychanalyse, celle de Sigmund Freud (1856-1939) et Carl Gustav Jung (1875-1961), sur laquelle chacun des protagonistes a donné sa version. Pour parler de l’inéluctable, l’un et l’autre ont trouvé des images. Histoire d’un complexe paternel, procès d’individuation et de prise d’indépendance, « déviation théorique » à l’orée du maternel et du religieux, différence de tempérament. (...)